Innocent les mains pleines, la maine réjouie – si j’ose dire – c’est tout moi. Il est temps que je saisisse les bonnes histoires pour en faire livraison demain à mes élèves, plus nombreux que les années précédentes. Les règles d’équité en vigueur m’obligent à leur trouver de quoi occuper leurs talents, en quantité suffisante.
Des saynètes, donc, pour dix élèves[1] que multiplient trois passages sur scène en fin d’année. Dites 33 personnages à dégotter[2] !